L’UNION DE 3 ASSOCIATIONS LOVERIENNES POUR LA CAUSE ANIMALE

Nous unissons toutes les ressources de nos 3 associations de Louviers : Amour de nos 4 pattes, ASAD et SOS chat en détresse ,dans une démarche de gestion de la population féline, avec pour principale action la mise en place d’une campagne de stérilisation des chats errants de Louviers ,en accord avec la municipalité de Louviers.

Les chats trappés seront stérilisés ‚tatoués puis relâchés sur leur site de trappage . Afin d’éviter toute confusion, au moment de l’opération ,nous invitons les propriétaires à identifier leurs animaux en leur mettant un collier ou en les laissant chez eux. En cas de capture accidentelle, si l’animal est identifié il sera immédiatement relâché.

Nous proposons aussi à l’adoption de nombreux minets et minettes sortis des rues.

Nos 3 associations Amour de nos 4 pattes , ASAD et SOS chat en détresse , sont confrontées à un manque de places pour nous occuper au mieux des animaux ayant besoin de soins et de surveillance post-opératoire.

Face à la misère animale, les bras et les moyens manquent toujours. “Nous ne sommes pas un refuge mais un groupement de bénévoles qui offrent une famille d’accueil. Le souci, c’est que même en étant une poignée, nous fonctionnons par liste d’attente car il y a toujours à faire. Pendant la saison des amours, les demandes n’arrêtent pas et il nous arrive d’être appelées pour des nouveau-nés trouvés dans les poubelles. Il faut alors les nourrir aux biberons toutes les trois heures, huit fois par jour. C’est un véritable labeur car les chatons viennent au monde par portées.”

“Il existe des colonies de chats car il y a eu une reproduction massive. S’ils ont vécu ainsi toute leur vie, c’est très compliqué de les socialiser. On stérilise donc les femelles pour endiguer le problème et on les relâche sur leur site de trappage. Certains mâles ont aussi besoin de soins en plus de leur castration.”

Nous sommes donc à la recherche d’un local disposant de l’eau et de l’électricité si possible prêté gracieusement(nous participerons bien sûr aux factures occasionnées). Il y aura des petits enclos pour que chacun puisse guérir sans être en cage, mais tout en respectant la quarantaine imposée. La municipalité, qui nous subventionne, s’est montrée favorable au projet mais ne trouve pas de lieu. Le but serait de placer des animaux en convalescence avant leur relâchage .”